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Spécial ventre plat.

29 Nov 2016
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Trop rond, trop gras, trop mou... Pour se réconcilier avec son ventre, il faut d'abord cerner le problème: mauvaise digestion, stockage, manque d'exercice... Puis réagir avec des exercices choisis, des conseils ciblés et des menus légers.

 

77% des français n'aiment pas leur ventre ! A cause de l'âge, des grossesses, des grignotages, du manque d'activité physique, on peut "avoir du ventre" sans pour autant être en surpoids. Non seulement notre ventre peut laisser à désirer question esthétique, mais il a souvent le mouvais goût de nous faire souffrir. Et de nous faire payer nos moindres erreurs alimentaires ou notre état nerveux et émotionnel.

 

Comment se réconcilier avec notre ventre ?

En repérant bien l'origine de problème. Stockage malencontreux, ma,que d'exercice, mauvaise digestion, voire intolérance alimentaire... Pour s'en sortir, il faut d'abord savoir sur quoi agir. Ensuite, on prend de bonnes habitudes et on adopte des solutions adaptées.

 

Et si c'était le stress ?

Parmi les personnes se plaignant de leur fonctionnement digestif, seulement 10 à 20% présentent des troubles fonctionnels. Les autres ? Ils errent de spécialistes en spécialistes, se privent de tel ou tel aliment, testent de multiples régimes, mais oublient la plupart du temps qu'un des facteurs majeurs est le stress !

Le ventre notre deuxième cerveau.

Le système digestif est intimement lié au système nerveux central. Le tube digestif est l'expression du cerveau et, selon l'état émotionnel, certains aliments "passeront" plus ou moins bien. rien d'étonnant quand n sait que le ventre refermerait quelques 100 millions de neurones ! Bien souvent, e ventre va mal parce que la tête va mal.

Pratiquer la relaxation.

Certaines techniques ont des effets bénéfiques et apportent une vraie sérénité tout en jouant sur le système nerveux parasympathique. Sophrologie, massages, méditation,... A chacun de choisir la sienne, quitte à en essayer plusieurs.

 

Et si c'était le lactose ?

On estime que 75% des adultes dans le monde présentent une baisse de l'activité de la lactase, cette enzyme chargée de dégrader le lactose (sucre du lait). Mais l'intolérance vraie est-elle si fréquente ? Et des troubles digestifs inexpliquées (ventre gonflé et dur, digestion difficile,...) doivent-ils forcément mener à un régime sans lactose ?

Une véritable intolérance est relativement rare.

Bon nombre de personnes choisissent de supprimer le lait et s'en voient soulagés. Et pourtant, la plupart sont négatifs au test d'intolérance. La flore intestinale pourrait avoir une influence, utiliser régulièrement des probiotiques aura pour but de reconstituer ou d'assainir votre flore. En outre, l'aspect psychologique entre en jeu: une étude italienne montre que chez certains, il n'y a a de véritable intolérance au lactose, mais plutôt une conviction personnelle.

Que faire ? Supprimer complètement le lait pendant huit à quinze jours si vous soupçonnez le lactose...et observer le résultat. La bonne nouvelle, c'est que cela n'oblige pas à se passer de tous les produits laitiers.

 

Et si c'était le gluten ?

Ces derniers mois, on a beaucoup parlé du gluten (protéine du blé et de certaines céréales). Certains y sont réellement intolérants (on parle alors de maladie cœliaque, qui touche l'intestin grêle). Mais on le soupçonne aussi de causer des troubles digestifs mineurs, notamment ballottements et douleurs. 

Sensibilité ou intolérance ?

De plus en plus de personnes déclarent se sentir mal quand ils mangent du gluten. Quand elles l'évitent, certaines constatent une nette amélioration de leur système digestif. Pourtant, elles ne présentent pas d'atrophie de la muqueuse intestinale, ni d'anticorps spécifiques de la maladie cœliaque. On peut pencher pour une sensibilité au gluten, mais on n'ne connaît pas l'origine. De 6 à 13% de la population pourraient être concernés.

Que faire ? Supprimer le gluten pendant une quinzaine de jours, c'est-à-dire les aliments à base de blé, mais aussi le seigle, l’épeautre, l'orge, le kamut,... Le remplacer par du riz, du maïs, du tapioca, des pommes de terre... Vous vous sentez mieux ? Vous pouvez réintroduire en douceur un peu de gluten en adaptant vos menus à vos réactions digestives.

 

Et si c'était le grignotage ?

Sucreries, alcool et autres: c'est prouvé dû à l'insuline (hormone sécrétée par le pancréas pour stabiliser la glycémie), tout excès alimentaire est surtout stocké sur le ventre, où un grand nombre de cellules graisseuses demeurent prêtes à se remplir. 

Que faire ? Limiter les pics d'insuline ! C'est-à-dire réduire le sucre et les grignotages. Ne pas sauter de repas, souvent replacés par des compensations sucrées.

On arrête le sucre; bonbons, sodas, sucreries, alcool, céréales sucrées du petit-déjeuner,...

On choisit des aliments à index glycémique faible: on décroche du pain blanc, des pâtes, des chips et frites... En privilégiant le pain complet ou aux céréales et les légumes secs (lentilles, haricots ou pois.).

Préférez le riz basmati ou sauvage, les pâtes complètes, le quinoa, l'orge,... Et compléter vos repas de légumes, riches en fibres bonnes pour le transit et à indice glycémique bas.

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