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L’œuf, un aliment santé.

mercredi, 12 avril 2017 11:31

L’œuf contient plus de 1 000 protéines, des lipides de bonne qualité, nombre de vitamines et de minéraux.

 

Chaque année, les Français avalent en moyenne 222 œufs. Boudé un temps par les consommateurs, notamment pour sa teneur en cholestérol, l’œuf retrouve un public conquis par son goût, ses qualités nutritives, son prix, sa maniabilité en cuisine et sa modération énergétique, soit environ 70 calories l'unité. Pour une digestion optimale, l’œuf doit être consommé poché ou mollet.

 

L'atout protéine.

Deux œufs fournissent autant de protéines que 100 grammes de viande ou de poisson. Ces protéines très digestes regorgent d'acides aminés essentiels. Leur valeur biologique atteint celle des protéines du lait de vache, et dépasse celle du soja ou des pois. Les protéines sont importantes entre autres pour le fonctionnement des muscles, la stimulation du système immunitaire ou encore les systèmes cardiovasculaire et hormonal.

Depuis 2012, plus de 150 protéines ont été identifiées dans le blanc d’œuf.

Dans le blanc, les protéines présentes sont précieuses pour la coagulation, pour fixer le fer et le calcium, pour exercer une action antimicrobienne ainsi que pour la santé de votre peau, cheveux et ongles. De plus, par leur activité antioxydante, le jaune d’œuf, prévient le cancer colorectal.

 

Du cholestérol au jaune enrichi.

L’œuf compte 10,5% de lipides, qui se trouvent en totalité dans le jaune. Les deux tiers sont des acides gras insaturés, réputés pour leur digestibilité et leur qualité nutritionnelle. Riche en cholestérol, l’œuf  a longtemps été accusé d'augmenter le taux de cholestérol sanguin. En réalité, pour près de 95% de la population, une consommation de deux œufs par jour n'exerce aucune influence sur le taux de cholestérol. Face à un excès de cholestérol, l'organisme humain en bonne santé régule sa production et son absorption. 

en 2014, des œufs enrichis en acides gras oméga-3, validés par la communauté scientifiques, feront l'objet d'une réglementation européenne. Ils sont indiqués pour les enfants, les personnes âgées et les patients traités pour le cholestérol. 

7 réflexes anti-faim.

mercredi, 05 avril 2017 15:07

Arrêter les régimes, être à l'écoute de son corps, choisir les bons aliments et faire la paix avec ses émotions: voilà quelques pistes que vous propose Deva N Sens pour retrouver et garder son poids de forme.

 

On identifie la vraie faim.

Une envie de manger peut être déclenchée par la faim, mais aussi par la vue ou l'odeur de choses appétissantes ou encore par les émotions. D'où l'importance de savoir reconnaître les signaux de la faim; le ventre qui gargouille, le petit creux désagréable à l'estomac. Et, si l'hypoglycémie est importante, une sensation de faiblesse ou une baisse de vigilance. Quand on mange trop et trop souvent, on a du mal à les reconnaître. Mener une phase d'observation vous est recommandée: en attendant par exemple de ressentir une véritable sensation de faim avant de prendre votre petit-déjeuner le matin. Le temps de bien noter les signaux par lesquels elle se manifeste. Sur la base de cette prise de conscience, on peut progressivement faire la différence entre la faim et une envie de manger, puis rechercher ce qui déclenche ces envies. Etre à l'écoute de son corps pour mieux se comprendre en quelque sorte.

 

On mange en pleine conscience.

Manger par automatisme à telle heure, avaler rapidement un sandwich à midi ou encore grignoter un paquet de biscuits devant la télé sont de très mauvaises habitudes. Déconnectée de ses besoins, on mange trop et mal. Pour l'éviter, manger en pleine conscience est conseillé, c'est-à-dire dans le calme, lentement, en étant dans le présent. Loin des préoccupations quotidiennes, à l'écoute de ses sensations: l'odeur d'un plat, sa texture en bouche, les saveurs qui se mélangent... On est concentré sur ce qui permet de manger moins vite et de sentir la satiété arriver: la faim qui baisse, le plaisir de manger qui diminue. Des signaux qu'on ne peut pas ressentir si on avale son assiette en 5 minutes ou si on est occupée à autre chose: naviguer sur sa tablette, envoyer des SMS, feuilleter un magazine,..;

 

On privilégie les aliments à IG bas.

So on ne peut pas dire que les glucides ne font pas grossir, il est certain que les aliments riches en glucides simples donnent faim. Le sucre, les produits sucrés (biscuits, glaces, sodas,...), les céréales raffinées (pain blanc, riz blanc, céréales soufflées,...) et les plats cuisinés ont un index glycémique élevé. Ces glucides simples sont vite absorbés et stockés, ce qui entraîne des fringales entre les repas. Au contraire, les aliments à Index Glycémique bas (céréales complètes, légumes secs) sont absorbés lentement et rassasient longtemps. Faites le tri dans vos placards, réservez les produits sucrés et les plats cuisinés à des circonstances exceptionnelles et privilégiez les aliments bruts ou peu transformés: pain complet, muesli sans sucre, riz brun, lentilles...

 

On apprivoise ses émotions.

Si l'on peut apaiser le vraie faim en faisant des repas complets et riches en aliments à IG bas, il est plus difficile de lutter contre les envies de manger émotionnelles. Il faut prendre conscience des émotions négatives qui nous traversent (stress, ennui, tristesse,...), comprendre ce qui les déclenche, pour chercher des moyens de les apaiser. Un sommeil de qualité et une activité physique régulière sont deux éléments clés pour chasser la fatigue et le stress. Sans oublier la méditation, la sophrologie et le yoga, qui ont montré leur efficacité contre le stresse et les angoisses. Faire la paix avec soi, ne pas se dire qu'on est nulle parce qu'on n'arrive pas à contrôler son alimentation, c'est important aussi. En cas de troubles plus sérieux, une rencontre avec un psychologue peut se révéler utile pour travailler sur la pleine conscience et le changement de comportement.

 

On ne supprime pas les graisses.

Depuis des années, on nous conseille de manger moins de graisses... sans arrêter l'épidémie d'obésité. Mon conseil: réhabiliter les graisser, qui ralentissent la digestion et favorise la satiété. Certes, un yaourt au lait entier est plus calorique qu'un yaourt à 0%, mais il cale plus vite et plus longtemps. Il s'agit surtout de consommer les matières grasses à petites doses: un peu de purée d'amandes sur ses tartines, une cuillère d'huile d'olive dans sa salade, un morceau de fromage dans son sandwich... On mise aussi sur des aliments riches en Oméga-3 (poissons gras, noix, huile de colza, graines de chia...), bons pour le moral, et qui aident à combattre les émotions négatives, sources de compulsions alimentaires.

 

On ne refuse pas de manger un aliment réconfortant.

Quand une émotion déclenche une envie de manger, il faut accepter de manger sereinement un aliment réconfortant. Il ne faut pas lutter, car cela risque de dégénérer en compulsions. Mais deux écueils sont à éviter: manger rapidement, sans se concentrer sur ses sensations et culpabiliser. Quand on est à l'écoute de ses sensations et que l'on mange tranquillement, l'envie se calme avec de petites quantités et l'humeur se rétablit durablement. L'objectif étant d'éviter les restrictions incontrôlables.

 

On a besoin de fibres et de protéines.

Selon l'étude NutriNet-Santé, les Français n'avaient en moyenne que 19 g de fibres par jour, alors qu'il en faudrait en consommer 25 à 30 g. Outre leur effet positif sur le transit et la flore intestinale, elles baissent l'IG des aliments et favorisent la satiété. Idem pour les protéines, dont on peut manquer quand on mange peu de viande et de poisson. Donc, on pense aux fibres (légumes, céréales complètes,...) et aux protéines (viandes, poissons, légumes secs,...) qui aident à combattre les fringales.

 

Quelques kilos en trop et nous nous sentons un peu alourdis, ralentis, ou fatigués... Le changement de saison est le moment idéal pour réveiller notre organisme, activer son métabolisme, le nettoyer et réguler ses fonctions. Une plante venue d'Amérique du Sud, le Baccharis Trimera, est utilisée traditionnellement pour accompagner ce mouvement de remise en forme saisonnière, grâce à ses vertus digestives et drainantes bien connues des populations locales.

 

Baccharis Trimera est une plante buissonnante et aromatique qui appartient à la famille des Astéracées (ou Composées) et pousse à l'état sauvage en forêt amazonienne, on la trouve aussi au Brésil, en Colombie, dans le nord de l'Argentine et du Paraguay et au Pérou. Identifiée par les autochtones sous le nom de carqueja, ses tiges et ses feuilles sont consommées en usage traditionnel pour stimuler les défenses immunitaires, réguler le taux de sucre, limiter le stockage des graisses, drainer les toxines et les éliminer (comme la chicorée ou le pissenlit, qui ont des vertus similaires), favoriser la digestion, le transit, et l'évacuation de la bile (cette action est comparable à celle de l'oignon ou de la sauge) 

 

Un complément alimentaire

Réduites en poudre, les feuilles et tiges du Baccharis Trimera sont proposées soit sous la forme de poudre, d'un emploi peu aisé et peu précis, soit sous le forme de gélules. Il s'agit d'un complément alimentaire dont l'une des indications de choix, dans nos sociétés occidentales, est la perte de poids après des excès alimentaires. Autrement dit, c'est un allié minceur intéressant pour accompagner un rééquilibrage alimentaire et physique.

 

Actif sur tous les plans.

Il contribue à lutter contre la constipation, l'embonpoint, la mauvaise haleine, la fatigue survenant après les repas, et à la sensation de bouche amère. Une cure de trois semaines au minimum est recommandée aux changements de saison, notamment à l'automne et au printemps. Elle accompagne les efforts d'amélioration de l’hygiène de vie, centrés sur la réduction des aliments gras et sucrés, l'augmentation de la consommation des fruits et légumes, la reprise ou le démarrage d'une activité physique régulière.

 

Comment s'en procurer ?

Deva N Sens vous propose votre cure complète de Baccharis Trimara issu de l'agriculture biologique sous forme de pilulier pour 22,50€.

Pour plus d'informations, je vous invite à me contacter via mon mail Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. ou par téléphone au 07.81.23.84.66.

 

 

 

 

Le radis, annonciateur du printemps

dimanche, 26 mars 2017 08:29

Pour faire honneur au printemps, quoi de mieux que de cuisiner le radis, l'un des premiers du mois qui arrive, avril ? Vraisemblablement originaire d'Asie, il est consommé en Chine depuis au moins 2 500 ans tant en cuisine que pour ses vertus médicinales. Voilà de quoi confectionner des tartines à la fois onctueuses et croquantes grâce à l'alliance du radis rose et de l'avocat.

 

Parmi les premiers légumes annonciateurs du printemps, le radis, colore gaiement les étals du marché dès les premiers jours d'avril. Il appartient à la famille des crucifères (comme le chou et le navet) et son croquant allié à son piquant ne fait pas que stimuler notre appétit. Il est réputé pour ses vertus diurétiques et c'est aussi un ami du foie. Pauvre en calories et en sodium, le radis est en revanche riche en potassium, calcium, magnésium et soufre. Il contient aussi des vitamines C et B. Le soufre qu'il renferme, stimule le drainage de la vésicule biliaire et combattent les ballonnements et l'aérophagie.

Il existe plusieurs variétés de radis, les plus connus étant, le noir et le rouge. Le radis noir, incontournable des cures détox, est plus fort au goût. Le rouge (ou rose) est plus connu et se croque tout cru, simplement avec une pointe de sel. Il ne faut surtout pas jeter ses fanes riches en provitamine A. Elles indiquent aussi l'état du radis avant l'achat. Elles doivent être bien vertes, vigoureuses et surtout non flétries, tandis que le radis doit être ferme.

Dans ma recette, le radis fait tandem avec l'avocat qui présente également un fort intérêt nutritionnel. Classé par les botanistes parmi es fruits, ce dernier est riche en acides gras mono-insaturés, qui contribuent à préserver les artères. Il contient aussi des vitamines (A, B, C, E) et trois fois plus de minéraux que la plupart des fruits.

 

Utiliser les fanes.

On peut ajouter les fanes à une soupes ou un smoothie de légumes très tonifiant. Pour deux verres, verser dans un blender 60 g d'épinards en branche (une grosse poignée), 20 g de fanes de radis, 4 radis roses, 10 g de graines germées (une cuillère à soupe bombée), une poire, une carotte, le jus d'un demi-citron, mixer, c'est prêt !

 

Tartines printanières.

Temps de préparation: 10 minutes

Ingrédients pour 4 personnes:

2 avocats bien mûrs, 2 citrons, 2 cuillères à soupe de purée d'amande blanche, 4 tranches de pain d’épeautre au levain, 4 radis, quelques pousses d’épinards, une poignée de graines germées, sel et poivre.

  • Presser les citrons. Laver les pousses d'épinards et bien les essorer. Nettoyer les radis.
  • Peler les avocats, ôter le noyau et couper la chair en dés. Les verser dans un blender, avec le jus de citron, la purée d'amande, une pincée de sel et de poivre  Mixer finement.
  • Tartiner les tranches de pain avec la crème d'avocat, disposer dessus les pousses d'épinards, de fines rondelles de radis et un nid de graines germées.
  • Servir aussitôt.

 

Plus forts avec la sève de bouleau

jeudi, 23 mars 2017 15:42

La sève de bouleau contient de nombreux éléments bénéfiques pour l'organisme. Distribuée sous une forme liquide, elle est surtout vendue quand reviennent les beaux jours. Voici mes conseils pour une cure optimale.

 

Le début du printemps demeure la meilleure saison pour entamer une cure de sève de bouleau. C'est à cette période que l'arbre bienfaiteur vit sa montée de sève, le plus souvent fin Mars, début Avril. La sève de bouleau se récolte en forant un petit trou dans le tronc, à faible hauteur. La sève s'écoule de l'arbre et se récupère dans une bouteille grâce à un drain en plastique (les récoltants utilisent des petits tuyaux de qualité alimentaire ou médicale). Connue en Europe depuis des siècles, cette pratique a été un peu oubliée en France. Pourtant, les bienfaits de la sève de bouleau sont largement mis en avant par les naturopathes. Elle favorise les fonctions d'élimination, purifie l'organisme et aide à se reminéraliser.

 

Jus n'est pas sève...

Il faut différencier la sève de bouleau d'autres produits qui résultent de l’exploitation de cette essence d'arbre. Différentes décoctions peuvent être préparées à base de la feuille; du bourgeon ou de l'écorce de bouleau. On parle communément pour ces mélanges de jus de bouleau. A ne pas confondre, donc, avec la sève de bouleau, et, notamment celle que les distributeurs qualifient de "fraîchement récoltée". Souvent, vendue dès le mois d'avril, elle se consomme pure. Par ailleurs, pour éviter la fermentation, les préparateurs élaborent de la sève pasteurisée, qu'on peut conserver plus longtemps. dès lors, on peut boire ce breuvage en automne.

A cette époque du calendrier, la cure de sève de bouleau permet tout autant de renforcer son métabolisme. Idéal pour éviter les virus et autres.

 

Anti-rhumatismes.

En plus de l'élimination des déchets, notamment dans le foie ou les reins, la sève possède des propriétés reminéralisantes. elle fournit des minéraux végétalisés à l'organisme. On peut également opter pour la cure de sève afin de lutter contre des douleurs articulaires ou des rhumatismes. 

La sève de bouleau fraîche que je vous propose, achetée au printemps au moment de la récolte, est conditionnée dans des poches avec robinet intégré. Elle doit être conservé au réfrigérateur. Sa température idéale ? Entre 4 et 7 degrés. Je vous conseille de la consommer dans les 30 jours après son ouverture.

 

D'autres consommateurs font entendre une voix différente: En Europe de l'Est ou du Nord, où cette boisson fait partie des cultures locales, ils n'hésitent pas à laisser la sève évoluer naturellement et à la boire longtemps après son extraction. La fermentation ne fait pas perdre au breuvage ses propriétés pour l'organisme. Le goût sucré de la sève fraîche devient juste un peu plus acide si vous conservez plus d'un mois votre boisson.

 

Comment organiser sa cure ?

Dans le cadre d'une cure de sève de bouleau, et si on n'a pas la chance de pouvoir la récolter soi-même à la source, vous ferez l'acquisition d'un minimum de cinq litres de sève, à boire à raison d'un quart de litre par jour. Je vous conseille de boire la sève à un minimum de trois moments dans votre journée. 

 

Comment vous en procurer ?

Je vous invite à me contacter téléphoniquement 07.81.23.84.66, via mon mail nutrition@devansens.com ou sur ma page Facebook.

Je vous propose une cure de sève de bouleau récoltée en France, issue de l'agriculture biologique, non pasteurisée, n'ayant subit aucune transformation, garantie sans pesticides et sans radioactivité.

 

Plus forts avec la sève de bouleau

jeudi, 23 mars 2017 15:42

La sève de bouleau contient de nombreux éléments bénéfiques pour l'organisme. Distribuée sous une forme liquide, elle est surtout vendue quand reviennent les beaux jours. Voici mes conseils pour une cure optimale.

 

Le début du printemps demeure la meilleure saison pour entamer une cure de sève de bouleau. C'est à cette période que l'arbre bienfaiteur vit sa montée de sève, le plus souvent fin Mars, début Avril. La sève de bouleau se récolte en forant un petit trou dans le tronc, à faible hauteur. La sève s'écoule de l'arbre et se récupère dans une bouteille grâce à un drain en plastique (les récoltants utilisent des petits tuyaux de qualité alimentaire ou médicale). Connue en Europe depuis des siècles, cette pratique a été un peu oubliée en France. Pourtant, les bienfaits de la sève de bouleau sont largement mis en avant par les naturopathes. Elle favorise les fonctions d'élimination, purifie l'organisme et aide à se reminéraliser.

 

Jus n'est pas sève...

Il faut différencier la sève de bouleau d'autres produits qui résultent de l’exploitation de cette essence d'arbre. Différentes décoctions peuvent être préparées à base de la feuille; du bourgeon ou de l'écorce de bouleau. On parle communément pour ces mélanges de jus de bouleau. A ne pas confondre, donc, avec la sève de bouleau, et, notamment celle que les distributeurs qualifient de "fraîchement récoltée". Souvent, vendue dès le mois d'avril, elle se consomme pure. Par ailleurs, pour éviter la fermentation, les préparateurs élaborent de la sève pasteurisée, qu'on peut conserver plus longtemps. dès lors, on peut boire ce breuvage en automne.

A cette époque du calendrier, la cure de sève de bouleau permet tout autant de renforcer son métabolisme. Idéal pour éviter les virus et autres.

 

Anti-rhumatismes.

En plus de l'élimination des déchets, notamment dans le foie ou les reins, la sève possède des propriétés reminéralisantes. elle fournit des minéraux végétalisés à l'organisme. On peut également opter pour la cure de sève afin de lutter contre des douleurs articulaires ou des rhumatismes. 

La sève de bouleau fraîche que je vous propose, achetée au printemps au moment de la récolte, est conditionnée dans des poches avec robinet intégré. Elle doit être conservé au réfrigérateur. Sa température idéale ? Entre 4 et 7 degrés. Je vous conseille de la consommer dans les 30 jours après son ouverture.

 

D'autres consommateurs font entendre une voix différente: En Europe de l'Est ou du Nord, où cette boisson fait partie des cultures locales, ils n'hésitent pas à laisser la sève évoluer naturellement et à la boire longtemps après son extraction. La fermentation ne fait pas perdre au breuvage ses propriétés pour l'organisme. Le goût sucré de la sève fraîche devient juste un peu plus acide si vous conservez plus d'un mois votre boisson.

 

Comment organiser sa cure ?

Dans le cadre d'une cure de sève de bouleau, et si on n'a pas la chance de pouvoir la récolter soi-même à la source, vous ferez l'acquisition d'un minimum de cinq litres de sève, à boire à raison d'un quart de litre par jour. Je vous conseille de boire la sève à un minimum de trois moments dans votre journée. 

 

Comment vous en procurer ?

Je vous invite à me contacter téléphoniquement 07.81.23.84.66, via mon mail nutrition@devansens.com ou sur ma page Facebook.

Je vous propose une cure de sève de bouleau récoltée en France, issue de l'agriculture biologique, non pasteurisée, n'ayant subit aucune transformation, garantie sans pesticides et sans radioactivité.

 

Le sucre dans tous ses états.

mercredi, 22 mars 2017 09:24

Parce qu'ils constituent la première source d'énergie utilisable,les glucides ont une grande importance dans l'alimentation. Mais voilà, du pain à la charcuterie, des plats cuisinés aux médicaments, des vinaigrettes au sauces, le sucre est partout. Ses dégâts se nomment diabète, maladies cardiovasculaires... Comment renouer avec le sucre et quels sucres ?

 

Les sucres sont des glucides de petites dimensions qui délivrent une saveur sucrée; on y retrouve en particulier le glucose, le fructose, le lactose et bien sûr, le saccharose, synonyme de sucre (la dénomination sucre, au singulier, est d'ailleurs exclusivement réservée au saccharose). En France, la consommation de sucre, est passée de 5 kg par an et par habitant en 1850 à 30 ou 35 kg dans les années 1970. Aujourd'hui, selon les enquêtes alimentaires nationales, la consommation en sucres (sucres ajoutés et naturellement présents) est stable et tourne autour de 25 kg par an et par habitant, soit environ 100 g par jour et par personne alors qu'elle devrait ne pas dépasser 50 g. Ce chiffre correspond au sucre utilisé directement par le consommateur et au sucre ajouté (environ la moitié) par les fabricants aux produits sucrés. Il ne comptabilise pas le saccharose naturellement présent dans les fruits et les légumes. Conséquence directe de cet excès de consommation l'épidémie d'obésité (concerne 12,4% de la population), les troubles métaboliques comme le diabète de type II, la forme la plus fréquente de diabète (90%), les maladies cardiovasculaires (toute augmentation du sucre sanguin au dessus d'un certain seuil fragilise les artères et multiplie par trois le risque de crise cardiaque). Alors, pourquoi mangeons-nous sucré ? Le sucre est-il un besoin inné ? Le sucre est-il un poison pour l'organisme ? Dans l'affirmative, comment le dépister, l'éviter, voire le remplacer ? Et tous les sucres se valent-ils ?

 

Un peu d'histoire.

Si un certain mystère entoure l'histoire du sucre, nous savons néanmoins que la canne à sucre et le miel était présents plusieurs millénaires avant Jésus-Christ, en Nouvelle-Guinée, en Inde, en Chine. Lorsque'ils reviennent de l'Asie qu'ils ont envahie, les Arabes rapportent la canne à sucre qu'ils vont planter en Egypte, en Espagne. De produit exotique, le sucre devient avec les Croisades, à partir du XII ème siècle, une culture implantée en bassin méditerranéen et même dans dans le sud de la France. Les pains de sucre font leur apparition, le commerce se développe, la consommation s'amplifie. Mais, c'est avec la découverte de l'Amérique que la production de sucre prend de l'extension et les plantations sont introduites aux Antilles. A la veille de la Révolution, la France est la première place européenne pour le raffinage et le commerce du sucre. Quant à l'arrivée de la betterave, elle est due au blocus continental sous l'Empire et, en 1812, Benjamin DELESSERT, raffineur près de Paris, présente le premier pain de sucre de betterave...

 

Le sucre, bon ou pas bon ?

Le sucre est bien connu par notre corps, en particulier par ses grands consommateurs que sont le cerveau, les reins, les muscles, qui en ont besoin pour satisfaire leur demande en énergie (1 g de glucose fournit 4 calories). Si, chimiquement parlant, tous les sucres sont équivalents, car ils sont transformés ultimement par l'organisme en une seule et petite molécule, le glucose, sucre qui circule dans le sang et sert de carburant à nos cellules, la différence se fit sur leur qualité. Contrairement au sucre complet qui contient des vitamines, des enzymes, des minéraux, des fibres et autres nutriments essentiels à votre organisme, le sucre blanc raffiné est vide. C'est un vrai poison.

 

Le diabète, maladie du sucre.

Maladie de civilisation des temps modernes, première cause de cécité en France, le diabète de type II compte aujourd'hui deux fois plus de diabétiques qu'il y a 25 ans. Outre la sédentarité, le stress, l'hérédité, l’alimentation trop riche et trop grasse, mais aussi trop sucrée,est en accusation.

Le diabète est lié à un mauvais fonctionnement de l'insuline. Chez les personnes non-diabétiques, l'insuline est sécrétée de façon continue afin de servir de carburant. Si le pancréas est incapable de fournir une quantité suffisante d'insuline, le sucre s'accumule alors dans le sang. Résultat, la glycémie (quantité de sucre dans le sang) augmente progressivement et le diabète apparaît après plusieurs années. Pour que l'organisme fonctionne correctement, la glycémie (le taux de glucose) doit varier entre 0,80 et 1,10 g par litre de sang à jeun, et entre 1 et 1,40 g dans les 2 heures qui suivent un repas. Chez les diabétiques, l'excès de sucre est particulièrement nocif à la fois sur les petits vaisseaux (des yeux, des reins, des extrémités) et sur les gros vaisseaux qui alimentent le cœur, le cerveau, les jambes. Les accidents cardiaques, les artérites et les accidents vasculaires cérébraux sont les principales complications de ce type de diabète.

 

Sucres lents, sucres rapides, un concept erroné ?

La séparation des glucides en sucres simple rapides et sucres complexes lents à longtemps été prise en considération pour leurs rôles et leurs répercussions très différentes sur la santé.

Les sucres simples rapides, sont les glucides du plaisir immédiat. Rapidement digérés, ils sont rapidement utilisables par l'organisme. Aussi, lorsque le corps a besoin d'un apport urgent en carburant,il fait appel à ces sucres simples qui augmentent rapidement la glycémie. Ce sont les sucres de table, bonbons, sodas, pâtisseries...

Les sucres complexes lents sont les plus intéressants pour l'organisme car leur assimilation est généralement plus lente que celle des sucres simples. A utiliser pour un besoin d'énergie sur une période longue car il faut davantage de temps pour les digérer. On les trouve dans les céréales, le pain, les légumes secs, les pâtes, les pommes de terre...

 

L'index glycémique, le dernier concept.

Des études ont toutefois démontré que tout n,est pas aussi simple; des sucres simples peuvent aussi être des sucres lents, à l'exemple du fructose. Ce concept, particulièrement trompeur, a été supplanté par un nouveau critère de classement des glucides. Désormais, chaque aliment est défini scientifiquement par un Index Glycémique (IG).

L'index glycémique est la mesure qui permet de décrire l'influence de la consommation de glucides (taux de glucose dans le sang). Cet IG prend en compte la nature des glucides (simples, complexes), de l'environnement dans lequel se trouvent ses molécules (fibres, lipides, protéines), de son mode de cuisson et du processus de préparation. Plus son index est élevé (supérieur à 70), plus l'aliment entraîne une hausse rapide de la glycémie, laquelle va provoquer une forte sécrétion d'insuline. Et risque de créer une addiction à ce type d'aliment. ce qu'à confirmé une étude américaine: les aliments à IG élevé augmentent la sensation de faim 4 heures après les repas. Mais ils pourraient aussi activer des circuits neuronaux impliqués dans la dépendance aux drogues...

Au contraire, les aliments à IG bas (inférieur à 35) ne sont pas totalement transformés en glucose et augmentent moins la glycémie. Attention, un même aliment aura un index glycémique différent selon son mode de cuisson: des pâtes cuites "al dente" ont un IG moins élevé que les pâtes trop cuites; des pommes de terre cuites au four ont un IG moins élevé que des pommes de terre en purée. 

 

Le boom des édulcorants.

En Europe, le marché mondial des édulcorants serait supérieur à 250 millions d'euros. Un édulcorant est une substance d'origine naturelle ou de synthèse donnant une saveur sucrée (définition du Larousse). Au sens propre, le sucre de table est donc un édulcorant. En réalité, ce mot est utilisé pour désigner les substances à saveur sucrées qui remplacent le sucre. Considérées comme addictifs alimentaires, elles se divisent en deux familles: les édulcorants de charge et les édulcorants intenses.

Les édulcorants de charge (ou polyols), sont fabriqués industriellement à partir de glucides (glucose, fructose, maltose), mais ils se trouvent naturellement en petite quantité dans les végétaux (le sorbitol dans les pruneaux et les cerises). Ils sont considérés comme sûrs, et n'ont pas, contrairement aux édulcorants intenses, de dose journalière admissible. Leur utilisation culinaire est beaucoup plus proche du saccharose que celle des édulcorants intenses.

 

Xylitol.

Parmi eux: le xylitol ou sucre de bouleau. D'origine végétale, ce sucre est extrait  de l'écorce de bouleau. Il possède les mêmes propriétés gustatives que le saccharose mais est deux fois moins énergétique. Il apporte une sensation de fraîcheur, c'est d'ailleurs pour cela qu'il est très utilisé dans les friandises mentholées. Il permet aussi de lutter contre l'acidité buccale. L'Union Française de la santé bucco-dentaire en recommande l'utilisation journalière afin de lutter contre les attaques bactériennes sur l'émail dentaire. Son index glycémique n'étant pas nul, il fait parti des édulcorants alternatifs à utiliser avec précaution, surtout par les personnes diabétiques. Certaines marques l'utilisent dans des confitures (Vivis). Attention, sa consommation excessive peut avoir des effets laxatifs.

Les édulcorants dits intenses, eux, sont utilisés pour remplacer le sucre dans l'alimentation ou les produits dont ceux dits "allégés".

L'aspartame: avec un pouvoir sucrant 150 fois plus élevé que celui du sucre, contre le diabète, les experts l'affirment, il est un substitut efficace mais juste pour le pouvoir du goût sucré. Sauf en cuisson. Cependant, cet additif alimentaire puissant et faible en calories, utilisé également dans un certains nombres de denrées alimentaires (boissons, desserts, produits laitiers, chewing-gums, produits hypocaloriques ou amaigrissants), faits l'objet d'études scientifiques. Deux études européennes ont récemment ravivé la controverse; une suggérant un potentiel effet cancérogène, et l'autre un risque d'accouchement prématuré chez la femme enceinte. 

La stévia autorisée depuis janvier 2010 sur le marché français après plusieurs années de lutte, offre, depuis, une alternative parfaite aux édulcorants chimiques très critiqués comme l'aspartame. Son usage s'est répandu, notamment au Japon suite à l'interdiction de l'aspartame. La feuille de stévia contient, outre du sélénium, du magnésium, du calcium, de la vitamine C. Elle est 15 fois plus sucrée que le sucre lui-même et, contrairement à ce dernier, ne contient aucune calorie. On la trouve sous la forme de poudre de feuilles séchées dont le goût de réglisse prononcé réduit considérablement l'usage. Les préparations les plus adaptées sont désormais disponibles soit sous forme de comprimés solubles (un comprimé équivaut à une cuillère à café de sucre), soit sous forme d'extrait extra pur, mais à manier avec un certain savoir-faire, car une quantité inférieure à la pointe d'un couteau suffit largement à sucrer un yaourt. Depuis sa mise sur le marché, et bien qu'elle ne supporte pas d'être chauffée au dessus de 120°C, la stévia s'est popularisée et se retrouve dans un grand nombre de produits: chocolats, bonbons, sodas, confitures... et dans le sucre roux qui, mélangé à elle, offre 50% de réduction calorique...

Tous ces édulcorants ne sont pas étrangers à des dérivés alimentaires. D'une part, sous prétexte de produits allégés en sucre, la tentation de consommer davantage existe, d'autre part, les aliments artificiellement sucrés provoquent une envie accrue de glucides. Ces produits sont utiles, à condition, comme le sucre, de bien les choisir et de les fréquenter avec parcimonie...

 

Filière et traçabilité.

Certains ingrédients font l'objet d'enjeux financiers colossaux, ce qui fait que l'on trouve sur le marché des produits excellents et d'autres d'une qualité suspecte. La stévia en est un exemple. D'un côté, on trouve des petits producteur, de l'autre, des multinationales ou des productions chinoises qui proposent des extraits de stévia à moitié prix mais sont on ne connait pas le processus de fabrication. 

Qu'il soit blanc ou brun, en morceaux ou en poudre, en sirop ou en caramel, de canne ou de betterave, il n'existe pas de "bon" sucre. Cela reste, à l'exception des sucres non raffinés, bruts, complets, du saccharose donc de l'énergie pure, sans apport de vitamines, minéraux et oligo-éléments associés. Le problème ? Les sucres cachés dans de nombreux produits industrialisés. A vous de traquer les glucides sur les étiquettes... Le sucre, oui, mais à condition de choisir tous les aliments, pain, pâtes, sucres, en semi-complet ou complet.

C'est déjà opter pour des produits qui apportent des nutriments à l'organisme. Et à consommer avec une grande modération sans oublier de consulter le tableau des indices glycémiques.

Le gluten désigne un ensemble de protéines que l'on retrouve dans les grains de certaines céréales comme le blé, l'orge ou le seigle. Ce terme vient du latin "glu" qui signifie "colle". C'est lui qui permet aux ingrédients de bien se lier et qui apporte une texture moelleuse aux produits de boulangerie. On le retrouve donc dans une foule d'aliments très courants comme le pain, les pâtes, les gâteaux, mais aussi dans de nombreuses sauces et plats préparés.

 

Comment reconnaît-on une intolérance au gluten ?

Une intolérance au gluten peut survenir à tout âge chez l'adulte, ou chez les enfants dès l'âge de 6 mois. L'intolérance au gluten est parfois nommée maladie cœliaque. Elle est liée à une réaction immunitaire anormale contre les protéines du gluten responsable d'une inflammation de la paroi de l'intestin. A long terme, cette inflammation peut endommager la paroi et diminuer les capacités normales d'absorption des aliments.

L'intolérance au gluten se manifeste surtout par problèmes digestifs comme des ballonnements, de la diarrhée ou des douleurs abdominales. Si la maladie dure d'autres signes peuvent apparaître comme une fatigue, une anémie, une perte de poids, des troubles de l'humeur, des douleurs des articulations ou une ostéoporose. Chez le nourrisson, une intolérance au gluten peut être suspectée devant une diarrhée persistante, des ballonnements, un refus de manger ou des vomissements, survenant au moment de l'introduction de céréales dans l'alimentation.

En cas d'intolérance au gluten, il faudra adopter à vie un régime sans gluten, c'est-à-dire exclure de son alimentation un bon nombre d'aliments consommés couramment. Le régime sans gluten suffit généralement à faire disparaître les symptômes, mais cette guérison peut nécessiter plusieurs semaines, voire plusieurs mois de régime.

 

Quelques idées d'aliments autorisés: 

  • Les pommes de terre, le riz, le quinoa, le maïs.
  • Les fruits et légumes frais, le tofu.
  • Les poissons (non panés ou préparés).

Les aliments à éviter:

  • Les céréales: tous les produits céréaliers à base de blé, d'orge, de seigle, d'épeautre ou d'avoine seront à bannir. Les produits contenant du blé sont très nombreux: les pâtes, le germe de blé, la semoule, la chapelure, mais surtout la farine et donc le pain, les pâtisseries, les biscuits, les barres de céréales, les pizzas, les quiches,...
  • Dans les yaourts, les glaces, les sauces, les viandes en conserve, les saucisses, les aliments panés... Certains industriels précisent ou non si l'aliments contient du gluten mais pas tous (un épis de blé barré dans un cercle indique que le produit est sans gluten). Regardez la composition des produits et éviter de consommer ceux indiquant les termes "amidons modifiés", "protéines végétales" ou "matière amylacées".
  • La bière et autres boissons à base de malt comme le whisky ou la vodka.

La nature en Mars c'est...

jeudi, 02 mars 2017 18:09

...la légèreté. Privilégiez les cuissons douces et rapides pour profiter au maximum des qualités nutritionnelles des légumes de saison. Conviez vitamine C, anti-oxydant et draineurs à votre table !

Blette, céleri-rave, ortie... Une belle association de bienfaiteurs. Blanchissez vos orties, faites cuire vos blettes à la vapeur et laissez les refroidir. Râpez votre céleri, une belle carotte nouvelle, un petit oignon et nappez d'une sauce aussi légère que raisonnable à base de fromage blanc, d'un filet d'huile de noix et d'un demi-citron. accompagnez d'une timbale de quinoa et faites des salades.

 

La blette.

La blette appartient à la même famille botanique que l'épinard, et à la même espèce que la betterave. Tartes et tourtes, flans salés ou soupes accueillent volontiers sa saveur fondante et légèrement sucrée. Côté nutrition, la blette est composée d'un maximum d'eau qui contient une grande quantité de minéraux dissous: potassium, calcium, magnésium, fer et vitamine C dans les feuilles. Au moment de la préparer, vos noterez sa richesse en fibres, qui élisent la blette au rang d'allié numéro un dans la lutte contre la paresse intestinale. Pour ne pas nuire à la qualité de ses propriétés nutritionnelles, faites la précuire à la vapeur juste al dente, avant de l'ajouter à vos recettes.

 

Le céleri-rave.

Par ici les fibres ! Avec un tel pourcentage (5%), le céleri-rave participe activement à votre bien-être digestif. Il joue volontiers les coachs diététique, à condition que vous oubliez l'option rémoulade baignant dans la mayonnaise, préférez une sauce légère à base de fromage blanc. Vous pouvez l'accompagner de carottes, d'épinards frais, de quelques radis et de pommes crues râpées. Non seulement, vous ne vous surchargerez pas, mais vous profiterez de manière optimale de ses atouts nutrition: 950 mg pour 100 g de potassium (c'est le végétal le plus riche en la matière) et un fort taux de sodium (110 mg pour 100 g), auxquels s'ajoutent calcium, magnésium, fer, cuivre, fluor... Le céléri rave vous ravit !

 

L'ortie.

Ne vous y frottez pas à mains nues, sinon gare à l'urticaire. Munissez-vous d'une paire de gants, et ramassez les jeunes pousses, les plus tendres, loin des bords de la route. Avant de les consommer, prenez soin de les laver à grande eau (toujours avec vos gants), puis les blanchir. A partir de l'eau, vous pouvez profiter en toute sécurité de leur potentiel énergétique: 40% du poids ,sec en protéines, acides aminés, provitamine A, fer et vitamine C, qui facilite l'assimilation du fer. L'ortie est également diurétique, une capacité bienvenue pour des drainages légers. Cuisinez vos orties le jour même de leur récolte, en tartes, omelettes, veloutés, smoothies... Jouez également la carte du condiment maison en les associant à une moutarde à l'ancienne.

 

Le kale, un super-chou de retour !

mercredi, 01 mars 2017 12:12

Moins connu encore dans nos contrées, le kale, un légume feuillu de la famille des crucifères est pourtant très en vogue aux Etats-Unis. Il fait son retour chez nous, c'est le moment d'y goûter.

 

Chouchou des célébrités comme Gwyneth Paltrow ou Jenifer Aniston, le kale a bien des raisons de susciter l'engouement aux Etats-Unis, mais aussi chez nous. Il est délicieux et c'est aussi un super-chou si l'on en croit son profil nutritionnel de champion. Il se démarque par sa forte teneur en fibres, en minéraux et oligo-éléments: cuivre, calcium, fer, phosphore et magnésium, mais aussi sa forte concentration en vitamines C et K. Le tout sans risque d'arrondir nos formes, car il est très peu calorique.

 

Perle nutritionnelle.

En fait, manger du kale équivaut à absorber un véritable cocktail antivieillisement, anticholestérol et antioxydant qui booste en prime notre énergie et notre système immunitaire. Appelé chou frisé non pommé ou chou plume, ce légume oublié commence à être réintroduit en Europe, il pointe ses feuilles essentiellement sur les marchés et les réseaux de la filière bio. Espérons que son côté rustique et facile à cultiver incite les producteurs toujours plus nombreux à en planter.

Sur les étals, il faut le choisir avec des feuilles brillantes et drues. Pour qu'il conserve son croquant, entourez le kale d'un linge et placez-le dans un sac plastique ou dans une boîte hermétique, le tout dans le bac à légumes du réfrigérateur. 

 

Recettes.

Des chips craquantes !

Le chou kale peut se manger cru (dans ce cas, il est conseillé de le couper en lanières fines et de le laisser mariner dans une sauce vinaigrée ou citronnée) ou cuit, aussi bien au wok, que braisé, à la vapeur, intégré dans une quiche, une soupe ou une sauce végétarienne pour des pâtes.

Pour réaliser des chips de kale, une recette fait fureur outre-Atlantique: lavez et séchez les feuilles, retirez les tiges et enrobez-les d'une émulsion d'huile d'olive, de sauce soja, de jus de citron, d'épices et de graines de sésame. Étalez bien les feuilles sur une plaque de four (recouverte d'un papier de cuisson) et faites cuire 30 minutes environ à 160 degrés, en les surveillant. Retirez-les quand elles sont croustillantes.

 

Wok de chou kale et graines de tournesol.

Temps de préparation: 10 minutes

Temps de cuisson: 25 minutes

Pour 4 personnes: Un bouquet de chou kale - Un poivron rouge - 4 gousses d'ail - 2 c. à soupe de graines de tournesol - Jus de citron - 2 c. à soupe de vinaigre rouge - Huile d'olive - Sel et poivre.

  • Retirer les tiges centrales du chou si elle sont trop épaisses. Laver les feuilles, les essorer et les couper en lanières. Couper le poivron en deux, ôter les graines centrales et les parties blanches puis couper la chair en cubes. Éplucher les gousses d'ail et les couper en lamelles.
  • Dans un wok (ou une grande poêle), faire chauffer légèrement 2 c. à soupe d'huile l'olive et ajouter l'ail et le poivron. Quand l'ail est translucide, ajouter le chou, saler et bien mélanger.
  • Cuire à couvert pendant 5 minutes pour faire "tomber" le chou puis continuer la cuisson à découvert en mélangeant de temps en temps encore une bonne dizaine de minutes.
  • En fin de cuisson, ajouter le jus de citron et le vinaigre. Bien mélanger et laisser légèrement évaporer. Ajouter les graines de tournesol, mélanger et laisser cuire encore quelques minutes. Poivrer.
  • Servir aussitôt avec une viande ou une céréale (riz, par exemple).
2016 DevaNsens